Turku était une des capitales culturelles de l’Europe en 2011. On m’a demandé une fois quést-qui je pensais des photos prises par Peter Piller lors de sa migration périphérique à Bonn. C’est à partir de la conversation qui a suivi cette question que s’est développé le concept d’une série sur Turku, qui devait être à la fois un portrait et une sorte de journal.

En même temps, cette série désingne le passage de ma photographie artistique du péliqule au numérique. Et j’étais en train de quitter l’Allemagne et de vivre à Turku à partir de 2009, ce qui m’a donné l’occasion de me promener et d’explorer la ville en prenant des photos. Justement, comme je fesais 15 ans plus tôt à Anvers.